• Tarif Adulte

    * plus 1€ frais de reservations

    35€* par personne
  • Tarif Réduit (7-12ans / LVP)

    * plus 1€ frais de reservations

    30€* par personne
  • Tarif VIP*

    * plus 2€ frais de reservations

    100€* par personne

OPÉRA À PANLOY :

LES NOCES DE FIGARO

MARDI 1er ET JEUDI 3 AOÛT

Informations

Après avoir réservé vos places, vous recevrez par mail votre confirmation et vos billets. En cas de problème merci de nous contacter.

Passez une soirée onirique dans le cadre exceptionnel du château de Panloy.
Venez avec votre pique-nique ou restaurez-vous sur place.
Food truck et bar à huitres à déguster sur place !

En cas de pluie le soir de la représentation, le spectacle sera reportée au lendemain.
La décision sera prise le jour même du spectacle, en début de soirée.

Possibilité de prendre vos places le jour même de la représentation.
Chèque et espèces uniquement.

LE TARIF VIP INCLUS :
  • 1 dîner assis servi sur la terrasse du Château
  • 1 coupe champagne
  • Des places réservées pour profiter au mieux du spectacle

ARGUMENT

    • La chambre de Figaro et de Suzanne

    • Le rideau se lève sur une chambre meublée seulement d’un fauteuil. Figaro mesure l’espace afin d’y placer le futur lit nuptial, tandis que Suzanne essaye un chapeau orné de fleurs. Suzanne ne veut pas de cette chambre que le comte leur destine, et qui se trouve à proximité des chambres de leurs maîtres car le comte risque d’en profiter pour la poursuivre de ses assiduités. Figaro, demeuré seul, promet de déjouer les projets de son maître.Entrent Bartholo et Marceline, un contrat à la main. La vieille fille lui demande de l’aider à obliger Figaro à honorer une ancienne promesse de mariage avec elle. Bartholo promet de s’y employer pour se venger de Figaro, auquel il n’a pas pardonné le soutien apporté au comte pour lui souffler sa pupille Rosine. Il sort. Marceline aperçoit Suzanne et essaie de la provoquer, mais cela se retourne contre elle. Chérubin entre et raconte à Suzanne que le comte l’a surpris seul avec la jeune Barberine et l’a congédié. Il vole à Suzanne un ruban appartenant à la comtesse sa marraine, dont il est amoureux.Le comte apparaît, pour réitérer ses avances à Suzanne et la convaincre d’accepter un rendez-vous galant. Chérubin n’a que le temps de se cacher derrière le fauteuil. La voix de Basile, maître de musique et langue de vipère, se fait entendre et le comte se cache à son tour derrière le fauteuil, tandis que Chérubin bondit dessus, et que Suzanne le recouvre d’une robe. Mais le comte qui a révélé sa présence finit par découvrir le page. Chérubin n’est sauvé que par l’entrée de Figaro à la tête d’un groupe de paysans, venus remercier à point nommé leur maître d’avoir aboli le droit de cuissage sur son domaine. Figaro demande au comte sa bénédiction pour le mariage, mais celui-ci temporise et réitère le bannissement de Chérubin, lui ordonnant de rejoindre son régiment. Figaro se moque ouvertement du jeune garçon en lui décrivant les affres de la vie militaire, mais lui dit tout bas qu’il doit lui parler avant son départ.

    • La chambre de la comtesse

    • La comtesse se lamente sur le délaissement de son mari. Suzanne fait entrer Chérubin qu’elle convainc de chanter à sa marraine la sérénade qu’il a composée en son honneur. Les deux femmes décident de l’habiller en femme afin qu’il puisse rester incognito au château et assister au mariage. Arrivée du comte qu’une lettre anonyme a averti d’un rendez-vous galant donné à sa femme (il s’agit en fait d’un « faux » de Figaro, destiné à susciter la jalousie du comte et le détourner ainsi de Suzanne) ; Chérubin va se cacher dans le cabinet voisin mais il fait tomber un meuble et le comte, soupçonnant la présence d’un amant, ordonne à sa femme de l’ouvrir. La comtesse refuse, l’assurant que c’est seulement Suzanne ; le comte, fermant toutes les portes, entraîne dehors la comtesse en attendant de trouver une façon de forcer la porte du cabinet.Suzanne, qui a pu se cacher inaperçue dans l’alcôve, fait sortir Chérubin de sa cachette ; il saute par la fenêtre tandis que la servante prend sa place dans le cabinet. Le comte et la comtesse reviennent. La comtesse avoue que c’est Chérubin qui est caché là pour une farce bien innocente. Le comte entre en fureur et force la porte mais, à son grand étonnement (et à celui de la comtesse), il tombe sur Suzanne. Celle-ci lui annonce ironiquement que la lettre était fausse et que c’était un jeu destiné à le rendre jaloux afin qu’il s’intéresse un peu plus à sa femme. Figaro entre et subit les remontrances de son maître mais désamorce le conflit en rappelant que la noce les attend.Le jardinier Antonio apporte à ce moment au comte un papier qu’il dit avoir été perdu par un homme qui vient de sauter par la fenêtre de la comtesse. Le document se révèle être la nomination de Chérubin comme officier et Figaro se sort de cet embarras en affirmant que c’est lui qui a sauté et qu’il était en possession de ce papier dans le but d’y faire apposer par le comte un cachet manquant. Alors que tous s’apprêtent à rejoindre la noce, Marceline, Bartholo et Basile apparaissent, réclamant l’application du précédent contrat. Le mariage de Figaro et de Suzanne se trouve reporté afin que le comte puisse juger sereinement – dit-il – de sa validité.

    • La salle du mariage

    • Le comte est embarrassé par les événements récents. Suzanne se présente et lui annonce qu’elle consent à le rencontrer dans le jardin. Le comte se réjouit de ce revirement. Alors qu’elle quitte la pièce, elle dit à voix basse à Figaro que leur succès est maintenant certain et son procès gagné d’avance. Le comte entend ces dernières paroles et comprend qu’il a été trompé. La scène du procès s’ensuit au cours de laquelle on découvre que Figaro est le fils naturel de Marceline et Bartholo, enlevé à sa naissance et qu’il ne peut donc pas épouser la vieille gouvernante. les anciens ennemis tombent dans les bras les uns des autres au grand dépit du comte.Seule, la comtesse songe à son bonheur perdu quand Suzanne arrive et lui annonce la bonne nouvelle. Les deux femmes décident de confondre le comte en lui donnant rendez-vous le soir même dans le jardin, où la comtesse se rendra sous les habits de Suzanne. Le comte devra lui rendre l’épingle qui ferme la lettre pour montrer qu’il l’a bien reçue. Un chœur de jeunes paysans, avec parmi eux Chérubin, donne une sérénade à la comtesse. Le comte arrive avec Antonio et, découvrant le page, se met d’abord en colère puis finit par pardonner, apaisé par Suzanne qui lui remet discrètement le billet. L’acte s’achève par le double mariage de Figaro avec Suzanne et de Marceline avec Bartholo.

    • Dans le jardin, le soir

    • Suivant les directives du billet, le comte a envoyé Barberine porter l’épingle à Suzanne mais la jeune fille l’a perdue. Innocemment, elle apprend à Figaro – qui n’est pas au courant de la supercherie – l’existence du rendez-vous. Malgré les tentatives d’apaisement de sa mère, qui lui explique que les femmes ont des circonstances atténuantes, il décide de se venger et de confondre les amants sous les yeux de tous, après avoir déversé sa rancœur vis-à-vis de la gent féminine.Suzanne, qui a été prévenue par Marceline, veut également jouer un tour à Figaro qui ose douter de sa fidélité. Après avoir prêté sa voix à la comtesse pour exprimer son impatience à retrouver son « bien-aimé », elle tente sous les habits de la comtesse de séduire Figaro mais celui-ci évente rapidement la ruse et, après être entré dans son jeu en devenant de plus en plus entreprenant, ce qui met en rage Suzanne, il lui avoue l’avoir reconnue. Les jeunes mariés font la paix alors que paraît la comtesse, d’abord importunée par Chérubin qui pense faire la cour à Suzanne, puis rejointe par le comte qui lui déclare son amour et lui offre en gage une superbe bague.Désirant pousser la farce jusqu’au bout, Figaro se met à courtiser à haute voix la fausse comtesse, ce qui a pour conséquence de mettre le comte hors de lui, qui appelle ses gens, bien décidé à châtier les coupables. Des lumières apparaissent et les masques tombent à la grande confusion du comte qui n’a plus d’autre choix que d’implorer le pardon de sa femme. Elle accepte ses excuses et ils décident de terminer la soirée au son des chants et des danses du banquet de mariage.